Ces parcelles rassemblent des plantes adaptées à un même milieu de vie et ayant des exigences écologiques identiques. Elles comprennent :
Les plantes de montagne. On les appelle également orophytes ou plantes orophiles. Elles sont capables de croître dans les conditions environnementales extrêmes des régions montagneuses (topographie accidentée, froid, longue durée d’enneigement et période de végétation réduite). La parcelle est segmentée en sous-ensembles présentant cinq écosystèmes montagneux caractéristiques des zones tempérées et boréales de l’hémisphère nord.
Les plantes aquatiques (ou hydrophytes) sont disposées dans des bassins à la forme labyrinthique que l’on appelle le « zig-zag ». Ils abritent également des espèces de berges (ou hélophytes). Ces végétaux sont adaptés au milieu liquide pour flotter, absorber les nutriments ou résister aux courants.
Les plantes de terre de bruyère sont des végétaux calcifuges qui ne peuvent croitre dans un sol calcaire où le fer, indispensable à leur nutrition, est moins soluble. Les rhododendrons, camélias, bruyères et myrilles sont ici cultivés dans les fosses remplies de terre de bruyère, riche en humus et au Ph acide.
Les plantes des régions littorales et steppiques dans une parcelle sableuse. Ces plantes présentent des adaptations qui leur permettent de résister à l’aridité, de s’accommoder de la présence de sel et de croitre dans les sol mouvants.